L’Internet de qualité pour tous : Le gouvernement s’engage à améliorer les services pour la population.
La ministre du numérique et de la digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, a tenu une séance de travail avec les fournisseurs d’accès internet (FAI) pour faire l’inventaire des problèmes et s’engager à fournir de meilleurs services à la population. Il s’agit de la première rencontre de l’année avec l’ensemble de l’écosystème des FAI.
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La première rencontre de l’année avec les FAI a permis de mettre en lumière les difficultés rencontrées par les consommateurs dans le choix et la souscription des offres d’accès à internet. La ministre du numérique et de la digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou a déclaré : « Nous suivons l’évolution des indicateurs. A la fin de l’année dernière s’agissant de l’indicateur relatif justement à la pénétration de l’Internet mais aussi d’autres indicateurs plus qualitatifs comme les plaintes que nous recevons, par rapport au raccordement à Internet, par rapport à un certain nombre d’autres facteurs, nous n’avons pas été franchement rassuré de ce qu’en terme donc d’effet d’impact de notre réforme, les choses sont en train d’évoluer dans le bon sens. »
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Elle a également abordé la question de la lisibilité des offres, des barrières à l’entrée et des frais d’installation. Les échanges ont été sans langue de bois, et l’autorité de tutelle et son équipe ont abordé certains éléments clés qui plombent les efforts dans le secteur. Flavien Bachabi, président de l’ARCEP, a déclaré : « A ce jour nous avons près de 17 ou 18 autorisés de FAI et le constat est que sur le terrain concrètement il y a que trois qui sont actifs. Forcément il y a des problèmes c’est sûr. Ce n’est pas globalement que vous nous intéressez, vous nous intéressez individuellement. »
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Les fournisseurs ont eu leur lot de préoccupations, mais ils ont tous été impressionnés par la démarche. Robert Aouad, directeur général de ISOCEL TELECOM, a déclaré: « Oui nous sommes très satisfaits vous savez toujours, le fait que la ministre de tutelle, que le président de l’ARCEP, que le directeur général de l’ASIN soit présent dans la salle ainsi que leurs collaborateurs pour écouter les problèmes des fournisseurs d’accès Internet c’est une très bonne chose donc c’est-à-dire il y a un dialogue qui est mis en place qui nous permet d’échanger et de trouver des solutions ensemble à nos problèmes. »
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Il est clair que le gouvernement met un point d’honneur à fournir un accès à Internet de qualité sur l’ensemble du territoire, et cette première rencontre de l’année avec les FAI est un pas dans la bonne direction pour atteindre cet objectif. Il est à espérer que les solutions proposées seront mises en place rapidement pour améliorer l’expérience utilisateur de l’Internet au Bénin.
