La récente visite du président d’honneur du parti les Démocrates aux blessés hospitalisés au CNHU n’est passé sans critique des internautes. Certaines langues ont dénoncé une tentative de récupération politique de la part des hommes politiques à l’heure où les familles endeuillées , continuent de pleureur leurs proches disparus. En effet, le drame de Dassa Zoumè a bouleversé la nation tout entière. Le nombre de morts et de blessés graves touche profondément la population, qui attend une réponse rapide et efficace de la part de ses dirigeants.
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Malheureusement, certains acteurs politiques tentent de profiter de la situation pour faire de la récupération politique, sans apporter de solutions réelles pour éviter de tels drames dans le futur. 8 heures après le tragique accident qui a causé la mort d’une vingtaine de personnes à Dassa, l’ancien président Thomas Boni YAYI s’est rendu au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutougou MAGA de Cotonou (CNHU-HKM) pour rencontrer les rescapés et encourager les équipes de soins.
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Lors de sa visite, M. Thomas Boni YAYI a rencontré les patients et leur a exprimé sa compassion en ces moments difficiles. Il a également encouragé les équipes de soins pour leur dévouement et leur engagement à faire tout leur possible pour aider les patients à se remettre de cette tragédie. Cette visite a été suivie de nombreuses réactions. Beaucoup d’acteurs, ont dénoncé une récupération politique.
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Le gouvernement de son coté, a mis immédiatement en place une assistance aux victimes et aux parents, ainsi qu’un suivi psychologique pour les personnes touchées par le drame. Les soins médicaux sont également gratuits pour les blessés. Malgré ces actions concrètes et rapides, certains acteurs politiques persistent à faire de la récupération politique, sans apporter de mesures réelles pour prévenir de tels drames. Ils critiquent le gouvernement sans apporter de solutions concrètes, ce qui montre une fois de plus leur absence de volonté de s’engager réellement pour le bien-être de la population.
