Attaque meurtrière à l’école Primaire Publique de Guimbagou : une nuit de terreur pour la population.
Dans la nuit de lundi à mardi, la paix a été perturbée dans la localité de Guimbagou, arrondissement de Toura, commune de Banikoara, lorsqu’une école primaire publique a été la cible d’une attaque . Des individus armés, encore non identifiés, ont mis le feu à l’établissement scolaire, brûlé la moto d’un enseignant et lui ont arraché son téléphone portable.
Le drame a pris une tournure plus tragique lorsque le chef du village, qui était venu porter secours à l’enseignant en alerte, a été abattu. Cette attaque a suscité un vif émoi et l’inquiétude dans la communauté éducative, qui réclame justice et sécurité.
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La Police Républicaine a immédiatement lancé une enquête pour identifier les auteurs de cet acte odieux et les traduire en justice. Elle appelle également les témoins à se manifester pour aider à élucider cette affaire. Cet acte de violence a également mis en lumière la nécessité de renforcer la sécurité des écoles dans la région et d’assurer la protection des enseignants et des élèves.
Selon une source présente sur place, l’attaque de l’école a été motivée par la propagande violente, la radicalisation et la vengeance engagées par les groupes armés. Les terroristes cherchent à détruire ce symbole en semant la terreur et le chaos. Un source militaire a affirmé à notre rédaction, que les groupes terroristes peuvent utiliser l’attaque d’une école pour diffuser leur message haineux et inciter d’autres à rejoindre leur cause. Les attaques contre les écoles sont particulièrement choquantes en raison de la vulnérabilité des enfants et de l’impact qu’elles peuvent avoir sur leur vie à long terme.
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Les autorités ont annoncé des mesures pour prévenir de tels incidents et garantir la sécurité des établissements scolaires. L’armée déployée sur le terrain a mis en œuvre un ratissage pour traquer les assaillants. L’école Primaire Publique de Guimbagou est un symbole d’éducation pour la jeunesse de la localité. Sa destruction est une perte irréparable pour la communauté, qui se sent démunie face à ce genre de violence.
